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Le Citron bleu présente Meurtre au Manoir Haversham

3 MARS 2017 - Sur les planches du Centre des arts de la scène Desjardins, à Longueuil, du 15 au 18 mars 2017, retrouvez les étudiants de la troupe de théâtre du Citron bleu du Cégep.

À l’affiche Meurtre au Manoir Haversham, une adaptation du metteur en scène Jean-Marc Dalphond que Samuel Lepage, membre de la troupe pour une 2e année et étudiant en Sciences humaines, profil Monde, décrit comme « un suspense policier, mais il va y avoir du rire. Ça va surprendre les gens! »

Cette pièce qui réserve bien des surprises s’adresse à un public de tous âges. Les billets sont disponibles en prévente à 10 $ au local B-25 (945, chemin de Chambly, à Longueuil) et à la Coop Édouard-Montpetit ou à la porte, au coût de 15 $.

Une école extraordinaire

Avant de monter sur scène pour la première fois en mars 2016, Samuel se questionnait sur son retour éventuel dans la troupe. Toutefois, le doute s’est rapidement dissipé. «À partir du moment où tu mets les pieds sur scène, tu souhaites y être le plus longtemps possible. C’est une dépendance! », a partagé ce passionné de théâtre. Originaire de Longueuil, Samuel estime que le théâtre est pour lui une école extraordinaire. Le Citron bleu, c’est le reflet d’une troupe professionnelle. «On nous considère comme des adultes. C’est là que notre transition au monde adulte s’effectue. On a des responsabilités et on devient autonome », a souligné Samuel. Aussi, depuis qu’il en fait partie, il constate une amélioration de son français oral. Voilà qui augure bien pour le futur étudiant en droit!

Oumaima Doghmane, autre membre de la troupe et étudiante en Sciences humaines, profil Monde, souhaitait faire partie de la troupe depuis le secondaire où elle a eu l’occasion d’assister à des représentations de la troupe du Cégep. C’est un rêve qui se réalise. En effet, quelle ne fut pas sa surprise de savoir que des années plus tard elle serait retenue pour prendre part à l’aventure. « Quand Jean-Marc Dalphond m’a dit qu’il voulait travailler avec moi, je n’y croyais pas. Moi, Oumaima!». Malgré le temps et l’investissement que cela demande, Oumaima ne regrette pas. «Avec le théâtre, tu oublies le ridicule. Ça m’a poussée à croire en moi. » La jeune originaire de Brossard confie que dans la troupe, on travaille toujours à vouloir se dépasser. «Comme nous dit Jean-Marc, c’est bien, mais tu peux faire mieux! On apprend donc à accepter la critique de façon constructive. »

Malgré des centres d’intérêt et un projet professionnel communs, Samuel et Oumaima ne se seraient peut-être jamais rencontrés. La troupe de théâtre les a réunis et leur a permis de vivre une aventure hors du commun qui prendra son véritable envol, le 15 mars 2017, soir de première.

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